across the silent sand*

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nom et prénom : moran ça date et ça ne vieillit jamais. source de bonheur et d'énergie, on se rappelle des moran comme la tribu qui part voyager à six, les rires joyeux dans le fond de la voiture, les compétitions entre frères et sœurs afin d'admirer le plus fort, quelques confessions autour de la table basse, la pièce secrète renfermant des tonnes de jeux de société. ouais. gamin, on rêvait tous d'être un moran. puis y'a le petit simon. ni premier, ni dernier. c'est le gosse des moran qui suivait en silence les traces de ses aînés, qu'on adorait par ses sourires timides, qu'on favorisait à chaque goûter en lui donnant deux parts de gâteaux et la fin du jus d'orange. simon c'est le sensible par excellence, mais le plus fidèle d'entre eux. si tu te pètes la cheville à quelques kilomètres de la ligne d'arrivée, c'est simon moran qui viendra te porter sur ses épaules pour que tu puisses gagner le lot de consolation. âge, date et lieu de naissance  : dans l'âge de conquérir le monde, il porte ses vingt-cinq ans avec fierté. le mois d'hiver de 1991 le gosse a lâché son premier cris parce qu'il savait déjà qu'il ne quitterait jamais new haven. il est né ici et sera certainement enterré à côté de ses ancêtres dans la même ville. origines et nationalité  : produit américain made in mom et produit italien made in dad. mélange qui pousse les moran à se secouer, à se lever tôt pour courir dehors, garder une santé saine pour un corps sain. lui n'est qu'un américain avec du sang étranger. et simon, ça l'importe peu. métier/études  : web designer ou dessinateur en bâtiment. il sait pas trop où il a raté la marche, où il a ouvert la mauvaise porte, quand ses parents ont décidés de ce qu'il ferait plus tard. mais il en est là aujourd'hui. petit jeune homme devenue grand, vient de finir ses études pour travailler avec son père dans les grands bureaux d'architecte de la ville. il pourrait s'en plaindre, mais son père le dit trop bien ''regarde d'abord ta paye et essaye de te plaindre après''. il essaye de s'en plaindre, mais son père a définitivement raison. statut amoureux  : il y a eu un elle. puis un rien. il y a eu sa première fois. puis un rien. Simon a toujours du mal à aimer, sentir un truc sincère entre ses deux poumons, entendre l'organe vital battre à tout rompre. l'amour, le vrai, le grand, avec un grand A n'a jamais frappé à sa porte. ou peut-être que si, mais simon était toujours trop occupé pour se lancer dans une relation à longue durée. trop occupé. pas assez bien pour lui, trop de concession. il en a des excuses le gosse, mais aucunes d'elles n'a jamais tenue la route. à new haven depuis  : toujours et pour toujours. c'est sa ville, la ville des moran, la ville de son enfance, la ville de toute sa vie. il ne veut pas partir. peur de l'inconnu ou simple nostalgie, il n'a jamais vraiment su.  traits de caractère  : simon c'est quelqu'un de loyal, il ne laisse jamais personne tomber quitte à être débordé de tous les côtés. ça fait de lui quelqu'un d'affreusement attentionné, la bonne oreille sur qui tomber pour calmer ses peines et se renflouer de courage. il a tendance à vouloir tout faire dans le bon ordre des choses, un léger brin perfectionniste sur les bords. ce côté lui donne des tics qui l'écrase dans la masse, l'envie de faire plaisir aux autres sans voir son nom dans les journaux. les mains délicates, les sourires timides, les yeux plaisants et le corps secret. il en dit peu sur lui, vie sa vie sans en demander plus, aide les autres mais ne se jette jamais sur le devant de la scène. altruiste, on ne peut pas refuser son aide. simon c'est une perle royale dont la composition reste un mystère.  groupe  - moon just kill my life.

- anecdotes, tics et manies
and my hand run with blood -
 
majorité féminine chez les moran. simon s'en trouve au milieu, bloqué entre deux générations de boys band et de pleures fanatiques. ses deux grandes sœurs, connie et maggie, les jumelles. le duo qui fait tourner la tête, le duo explosif, le duo représentatif des moran, connie et maggie sont les bonnie and clyde des temps modernes. puis sa petite sœur. la jolie milo qui rêve de ressembler à ses grandes sœurs. milo qui suit chaque pas de ses deux personnalités favorites, oubliant parfois qu'un grand-frère se trouve entre les deux jolies femmes. simon ne lui en veut pas. femme, il aurait certainement suivit les pas de ses sœurs aussi. cette grand fratrie aux allures délicates et aux sourires charmeurs est bien plus soudée que n'importe quel voisin. ils ne se laisseront jamais tombé. un pour tous et tous pour les moran. deux » pancarte bien haute, voix amplifiée, poing vers le ciel. grandit entouré de femme, le féministe en lui s'est réveillé dès les premiers cris de sa naissance. égalité homme femme, il pourrait combattre pour ça, donner sa vie s'il le faut. gentleman et respect total pour la femme, simon agit comme un simple et honnête homme. grandir avec les sœurs moran ça demande du courage. aujourd'hui il pourrait se vanter de connaître les femmes par cœur. trois » l'escalade. c'est son truc. l'échappatoire du mec aux doux sourires. il grimpe. haut et haut. encore et encore. jusqu'à toucher les étoiles et attraper la lune du bout des doigts. quand il monte, il sent l'adrénaline pulser contre ses tympans. premier dans son club, il passe outre les concours. ça ne l'intéresse pas de gagner des prix, il se contente d'escalader pour le plaisir. opposé complémentaire de son meilleur ami. quatre » le gosse rêvait de bosser sur des ordinateurs. derrière un bureau, taper des lettres sur un clavier, porter des lunettes et les mêmes cravates que son père. il en a rêvé de ce boulot de web designer. il en rêvait tellement qu'il en demanda l'accord à ses parents. une moue. deux moues. un regard entre parents. à l'époque, les ordinateurs n'étaient pas l'avancement le plus performant. avenir à l'artisanat. alors il a changé ses idées pour travailler avec son père. alors il a du changer ses idées. dessiner des plans de maison. des grandes. des petites. des ovales. des carrées. des rectangles. les journées sont longues et l'envie s'effrite de jour en jour. il dit rien. parce que ça fait plaisir à papa, maman. et dans la vie, faut bien faire quelques concessions pour faire plaisir. cinq » l'amour. pas son truc. pas sa tasse de thé. il aime pas. du moins pas vraiment. ça passe. ça vient. ça repart. l'amour c'est ce truc qu'il a jamais compris. Le truc qu'est censé te faire vivre. te faire sourire en tournant les clés de ton appartement. te faire plaisir lors des soirées calmes à simplement parler. te mettre dans tous tes états quand tu as oublié de lui dire je t'aime. simon ça le fait paniquer. s'engager. rouler sur une route calme de l'amour en ne voyant que sa partenaire. il n'arrive pas à s'y voir. il panique rien qu'en y pensant. alors le gosse se contente de faire semblant d'aimer. d'abattre la relation quand ça va trop loin. il ne l'a pas encore trouvé l'âme sœur. peut-être qu'elle n'arrivera jamais. forcé de jouer la comédie toute sa vie. six » italien du côté de son père. il parle italien. mange pâtes et pizzas à la commande de son père. visite la famille dans les profondeurs de l'italie. mais le plus merveilleux dans l'histoire c'est l'amour. l'amour de son père pour sa mère. ce moran qui a quitté l'italie pour l'amérique. vivre au côté de sa femme. ça fait rêver simon. ça fait déprimer simon. et lui ? c'est quand son tour d'aimer ? sept » deux ans. ça fait déjà deux ans. pas d'anniversaire ni de célébration mais un voile noir qui se pose sur la famille des moran. il efface les rires. il supprime la joie. il écrase le bonheur enfantin. on entend des pleures devant la porte. des visages tristes qui se dessine à l'extérieur. une ambiance morose et morbide. la jolie milo. elle était jolie milo. fraîche de vie. envie d'ailleurs et des rêves pleins la tête. elle puait la vie milo. elle donnait envie de rire, de s'aimer, de sourire, de quitter le monde pour voyager. pour découvrir. milo allait faire des grandes choses. mais c'est finit maintenant. milo elle ne vie plus que par la peur et les larmes. milo elle est silencieuse. milo n'existe plus. huit » on ne s'intéresse pas à la vie de simon. moins on en sait plus on l'aime. c'est scientifique. pas encore prouvé mais il bosse dessus. tandis que ses sœurs exposent leurs vies sur les réseaux sociaux, simon ne dit rien. reste dans son coin. assis. à écouter. sourire. donner des conseils. l'heure passe et il est temps de partir. on oublie de lui demander comment il vas. de lui poser des questions sur sa vie. ce qu'il fait. ce qu'il a mangé hier. c'est toujours trop tard quand on s'en rend compte. on lui demandera demain. mais on oublie. encore et toujours. on ne connaît pas simon. personne ne le connaît. pas même ses parents. pas même ses sœurs. pas même son meilleur ami. il est bon pour rester en retrait et donner des conseils. il fut un temps où il en était satisfait. puis, monsieur à grandit. neuf » milo. la morte. eux. les vivants. un monde les sépare. pourtant ils sont proches. se touche de la main et se frôle du bout des lèvres. simon ne digère pas. c'est resté bloqué dans sa gorge depuis deux ans. il pourrait en parler. il a du monde à en parler. mais ça ne sort pas. sourire et douces paroles sont son remède à l'épée de Damoclès qui continue à tourner autour de son crâne. combien de temps lui reste t-il avant de cracher le morceau. « Ça restera entre nous. » connie et maggie ont déjà essayées. sans succès. il contourne la question avec habilité. parce qu'il en a l'habitude. « Simon. Parle. » sa mère a essayé. il s'est contenté de sourire et de partir. « On est conscient que ce n'est pas que d'elle. Et toi ? » son père à tenté. sourire et il repose le centre de la conversation sur les autres. ça le bouffe, déchire ses entrailles, crame ses rêves, le noie dans un océan noir. profond. où il est seul. se sens seul. des mains se tendent vers lui. les doigts frôlent son corps pour le remonter à la surface. paralysé. voilà comment il se sent. paralysé, impossible de tendre sa main à son tour. il suffoque la nuit. se réveille à bout de souffle. il va bientôt crever, le gosse. à cause de lui. et seulement lui. dix » alex carlson. le gosse parfait. le fils que les moran auraient adorés avoir. parce qu'il est fière. parce qu'il est charismatique. parce que c'est un battant a l'envie de gagner à tout prix. ils se coltinent l'un l'autre depuis le bac à sable. le genre d'amitié qui reste collée à la peau sans le vouloir. l'un devant et l'autre derrière. simon le pousse en silence. c'est sa bonne fée, la bonne étoile à prier. il l'aide, le pourri de bon conseil, de bon plan, de bonne occasion. il était là pour lui, il a toujours été là pour lui. dans les gradins. dans la cours de récré. dans le couloir pour lui dire que cet examen était pourri. dans la chambre à lui dire que cette fille ne valait pas le coup. il était là quand il est monté sur le podium. ratant un examen important juste pour scander son nom dans les gradins. simon était toujours là. sa main sur son épaule. son bras droit. le laissant avancer. le laissant briller. il cachait ses remarques, les points négatifs, l'ignorance, la jalousie, les injures qu'il pouvait porter à son égard. parfois. tout le temps. une bombe à retardement qui scotchait ses lèvres. un matin. une radio. un nom inconnu. un nom familier. et la rancœur. ce sentiment qui fait briller ses yeux. ce goût si acide qui commence à le réveiller. il a attendu trop longtemps pour lui dire. ça explose enfin. onze » « - Tu ne diras rien à papa et maman ? - On est dans le même bateau, Milo. J'te dénonce, j'suis finit. » elle lui sourit. ce grand sourire qui lui met du baume au cœur. milo et simon. les frangins qui se complètent. encore plus soudés que connie et maggie. ils se parlent en cachette. monte leurs rêves ensemble. des idéaux idylliques. une vie qu'à deux. entre le grand-frère et la petite sœur. milo admire ses sœurs mais épouse son frère. ils se comprennent. parfois de trop. ils se complètent. beaucoup trop. milo ne devait pas sortir ce soir. interdite à la soirée la plus hype de son université parce qu'elle avait déjà fait le mur la veille. simon lui accorda un peu d'aide. contre ses parents. mais pour milo. il la laissa partir. vivre sa soirée comme une douce étudiante tandis qu'il rejoindrait sa copine du moment. et là. ce moment. ce soir là. le coup de téléphone en trop. l'instant ou ta vie bascule en quelques secondes. sonné. abrutit par ce coup de téléphone. son sang bouillonne et claque contre son corps. milo. assise et adossé contre un mur en brique. elle tremble. elle pleure. elle cris. elle meurt. « C'est ta faute. » elle lui a dit. elle a osé. douze » il fumait rarement. depuis deux ans, c'est devenue sa nouvelle alimentation. cigarette et café chaque matin. cigarette et café chaque midi. cigarette et café chaque soir. il bousille sa santé  parce que ça fait du bien. ça l'apaise difficilement. ça fait fondre ses épaules. ça calme sa tourmente. son esprit ralentit et s'active avec le taux de caféine qui pulse dans ses veines. il tente d'arrêter ou de simplement baisser sa consommation. mais personne n'est derrière lui. personne pour lui dire d'arrêter. personne pour lui poser un ultimatum. alors il continue. à en crever. mais il continue. treize » c'est difficile à entendre. difficile à croire. difficile à avaler. et tout ça c'est de sa faute. milo. il a gâché sa vie. parce qu'il pensait lui faire plaisir, parce qu'il pensait bien faire. il aurait du tout raconter à ses parents. simon n'a rien dit. il s'est contenté d'écouter l'homme à la blouse blanche. violé. battu. détruite. milo. par sa faute. deux ans que les moran l'ont foutue dans un hôpital blanc. le genre d'endroit où l'on regroupe tous les malades du crâne. psychiatrique. parce que milo ne dit plus un mot. ne mange plus. ne vie plus. le regard dans le vide. elle se laisse crever sans un mot. milo est partit dans un autre monde, sa cervelle coincé dans un noir infinis et son corps bloqué dans celui des vivants. personne ne peut rien y faire. tous le monde attend un miracle. simon a expliqué que milo avait fait le mur toute seule. qu'il n'était venue que par son coup de téléphone. que rien n'avait été de sa faute. mensonge qui ronge ses os. tout est de sa faute. mais pas un mot. rien. quatorze » simon a un humour fin. passe-partout. on l'entend pas souvent, trop effacé par la masse et la conversation. mais on le remarque par ses sourires. son joli visage. l'étincelle dans ses yeux qui montre un homme bon. agréable. doux. ça séduit les filles et l'humour qu'il peut leurs donner n'est qu'une qualité en plus. elles tombent sous le charme. trop rapidement. trop souvent. aveuglé par ses qualités que les défauts disparaissent au fil du temps. perfectionniste. sans attache. silencieux. c'est ça qui cloche. son silence sur sa vie. quand certaines demandent, il sait pas quoi faire. pas courant. on lui pose jamais ce genre de question. simon détourne la conversation. les plus coriaces s'énervent. ça casse. l'amour, le vrai est peut-être déjà passé. il ne l'a pas vue. tant pis. il n'est pas à ça près. quinze »  la nouvelle. la bonne nouvelle. l'horrible nouvelle. son meilleur ami exposé aux journaux et la terre entière comme violeur. comme monstre. comme horreur. des détails dont il se serait passé. le visage en pleure de la gamine. sa voix tremblante. l'émotion dans son corps. ça aurait pu être milo. ça le déchire de penser ça de son ami. un côté bien-pensant et toujours accroché à alex le force à ne pas y croire. à jouer la sourde oreille. mais. mais peut-être qu'il a pété les plombs. qu'il cache sa vraie identité depuis des années. celui d'un monstre. d'un con sans cœur. il a tenté de couper toute communication avec lui. ça rappelle trop de souvenir encore trop présent. trop vrai. mais il est revenue en ville, le suppliant de l'écouter. c'est partie d'un coup. sans s'en rendre compte. la bombe explosa, crachant à son visage toute l'horreur qu'il s'est forcé de garder pendant des années. la loyauté dont il lui a fait preuve, sa présence, sa gentillesse, son soutient. pour rien. alex ne lui a jamais renvoyé les bons mots. ne s'est jamais intéressé à sa vie. c'était juste lui. lui et sa réussite. lui et sa gueule. lui et sa fierté. remerciant simon comme un fan. il voudrait tirer un trait sur son nom. sur sa vie entière. faire comme-ci alex n'avait jamais eu aucune influence sur sa vie. mais y'a tellement de chose à dire. encore des coups bas à lui faire subir. il veut qu'il paye. pour tout. personnel et faits divers. parce que tout est de sa faute. cette fois, c'est bien celle des autres.

Spoiler:

Booth + le pré-lien d'Alexou d'amour = Excellent choix !


Welcome et bon courage, pour ta fichounette !

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] merci beaucoup && le lien est inévitable, of course
++ désolée pour le nom de famille, j'ai checker vite fait hier et je n'ai pas fait attention, j'ai changé tout ça  

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] c'est pour mieux te séduire mon enfant  
merci bff  

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] l'attaque de smiley        
merci beaucoup mon keur    

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] , [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] , [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] cimer bcp les guuurls

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] tqt je me dépêche de finir tout ça

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] dit rien et vient dans mes bras, j'vais te réconforter
merci pour tout honey

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] gosling ...
merci bcp toua

Simon Moran a écrit:

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] l'attaque de smiley        
merci beaucoup mon keur    



Ahaha, voui... Je suis une accro aux smileys. But... Si ça ne va pas... Je peux me calmer, si tu veux, petit ange ?


Ce n'est rien, belle petite luciole argentée. (a)

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] même pas peur

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ah non, non au contraire je trouve ça mignon
t'es smiley et très surnom aussi

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] moh.
merci tellement.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] merci beaucoup!